Dans les dernières années, les Québécois.es se sont fait inondé.e.s de messages de services publics, de règlementation et d’appels au changement de comportement - particulièrement sur la route.
Les campagnes de sécurité routière et de prévention, aussi percutantes soient-elles, ont un point en commun : leur effet s’estompe aussi tôt leur cycle de diffusion terminé. Pour tenter de s’inscrire dans la durée, il nous a fallu imaginer une action disruptive qui pourrait vivre au-delà de la campagne et des achats médias. Une action que les Lavallois.es pourraient s'approprier.
Dans les dernières années, les Québécois.es se sont fait inondé.e.s de messages de services publics, de règlementation et d’appels au changement de comportement - particulièrement sur la route.
Les campagnes de sécurité routière et de prévention, aussi percutantes soient-elles, ont un point en commun : leur effet s’estompe aussi tôt leur cycle de diffusion terminé. Pour tenter de s’inscrire dans la durée, il nous a fallu imaginer une action disruptive qui pourrait vivre au-delà de la campagne et des achats médias. Une action que les Lavallois.es pourraient s'approprier.
Plutôt qu’une campagne «choc» portant sur les risques et conséquences de la vitesse au volant, nous avons misé sur la méthode douce, l’activisme citoyen et la mémorabilité de l’appel. Une approche disruptive, tant sur le fond que la forme. Résultat? Une chanson aux accents pop, un vidéoclip déjanté et beaucoup de fourrures dans un territoire créatif développé autour de l’invitation Tout doux dans nos rues. Les Lavallois.es ont été invité à participer activement à la campagne en leur fournissant du matériel de prévention, des sacs de résidus verts et des affichettes de terrain pour donner plus de visibilité au message. Au total, près de 7000 affichettes et plus de 10 000 sacs ont été récupérés par les Lavallois.es.
Plutôt qu’une campagne «choc» portant sur les risques et conséquences de la vitesse au volant, nous avons misé sur la méthode douce, l’activisme citoyen et la mémorabilité de l’appel. Une approche disruptive, tant sur le fond que la forme. Résultat? Une chanson aux accents pop, un vidéoclip déjanté et beaucoup de fourrures dans un territoire créatif développé autour de l’invitation Tout doux dans nos rues. Les Lavallois.es ont été invité à participer activement à la campagne en leur fournissant du matériel de prévention, des sacs de résidus verts et des affichettes de terrain pour donner plus de visibilité au message. Au total, près de 7000 affichettes et plus de 10 000 sacs ont été récupérés par les Lavallois.es.
Dès la première semaine, la scène politiques et médiatique célèbrent en bloc le coup de pub et l'ingéniosité de la campagne. Même son de cloche du côté citoyen, à commencer par les résident.es de Laval qui s’approprient la campagne, plantent des affichettes sur leur gazon et partagent abondamment le clip sur les réseaux sociaux. Comme marketing d'influence, difficile de demander mieux. Les maires et mairesses du Québec saluent également l’audace et la pertinence du coup d’éclat et relaient le message à leurs citoyens et citoyennes, qui à leur tour réclament des offensives de communications similaires à leurs élus. Une vingtaine de mentions de la campagne dans les médias ont été recensées. Il faut ajouter à ce nombre les reprises en boucle dans le cadre des bulletins de nouvelles. Un effet boule de poils, propulsé avant tout par l’adhésion des Lavallois.es.
Dès la première semaine, la scène politiques et médiatique célèbrent en bloc le coup de pub et l'ingéniosité de la campagne. Même son de cloche du côté citoyen, à commencer par les résident.es de Laval qui s’approprient la campagne, plantent des affichettes sur leur gazon et partagent abondamment le clip sur les réseaux sociaux. Comme marketing d'influence, difficile de demander mieux. Les maires et mairesses du Québec saluent également l’audace et la pertinence du coup d’éclat et relaient le message à leurs citoyens et citoyennes, qui à leur tour réclament des offensives de communications similaires à leurs élus. Une vingtaine de mentions de la campagne dans les médias ont été recensées. Il faut ajouter à ce nombre les reprises en boucle dans le cadre des bulletins de nouvelles. Un effet boule de poils, propulsé avant tout par l’adhésion des Lavallois.es.